L’entourage des joueurs de la NBA

Comme tout bon businessman, l’athlète NBA doit savoir s’entourer, afin d’avoir un parcours optimal d’un point de vue professionnel et personnel. Car, lorsque des millions de dollars sont en jeu, nombreuses sont les tentations pour les joueurs et les membres de leur cercle privé. S’ils veulent éviter la banqueroute, les abus de confiance ou les dettes, les basketteurs doivent faire preuve de bon sens pour constituer leur entourage.

Faisons la liste de ces personnes qui ont un accès privilégié au cœur et au portefeuille des athlètes de la grande ligue de basket.


1. L’agent sportif

(Rich Paul – au centre – avec ses clients de l’agence Klutch Sports / Instagram : @richpaul)

Pour un athlète, signer avec un agent sportif est le premier pas vers la professionnalisation. C’est pour cela que les jeunes de la NCAA ne sont plus considérés comme des joueurs amateurs quand ils font appel à une agence. C’est le cas de James Wiseman, ancienne recrue de Penny Hardaway et des Memphis Tigers, qui a signé avec Excel Sports et se prépare d’ores et déjà pour la draft 2020.

La signature avec un agent se fait habituellement entre le moment où le joueur se déclare pour la draft et la sélection officielle des nouvelles recrues de la ligue. Ceci est une décision importante pour les athlètes universitaires, car ils doivent choisir la personne qui les représentera sur l’échiquier NBA. 

L’agent d’un joueur a pour mission de gérer la carrière sportive de son client afin de lui trouver les meilleures opportunités possibles. Il veille aussi sur ses intérêts, d’un point de vue  marketing, commercial et financier. C’est l’agent NBA qui va prendre en charge la préparation du joueur pour la draft (déroulement des workouts, management pour les entretiens avec le General Manager et/ou le propriétaire des franchises intéressées…). 

Cet homme d’affaires joue un rôle majeur dans le parcours professionnel d’un basketteur. C’est la personne qui va mener les négociations avec les franchises, notamment lors de la free-agency, dans le but de trouver le meilleur deal pour son client.

Les basketteurs ne sont pas en contact permanent avec leur agent, d’autant qu’il peut avoir plusieurs clients dans la ligue. A la NBA, 8 agents représentent près de 80% des athlètes.

Cela leur permet par ailleurs de faire jouer leurs relations avec les franchises pour qu’ils donnent une chance à leurs protégés. Rich Paul a ainsi réussi à associer ses clients LeBron James et Anthony Davis à Los Angeles.

Selon Jalen Rose, les agents de la NBA s’octroient 10% à 20% des contrats qu’ils négocient pour leurs clients, en sachant qu’ils peuvent également leur trouver des contrats très lucratifs avec des équipementiers et autres sponsors.

Parmi les agents les plus convoités à la ligue, il y a Rich Paul et son agence Klutch Sports (LeBron James, Anthony Davis, Ben Simmons), Jeff Schartz et son agence Excel Sports Management (Kemba Walker, Nikola Jokic, C.J. McCollum), Aaron Mintz et sa Creative Artists Agency (Paul George, De’Angelo Russell, J.J. Reddick) ou encore Mark Bartelstein de Priority Sports & Entertainment (Kyle Lowry, Gordon Hayward, Bradley Beal). Avec leurs agences respectives, ils représentent plus de 20 joueurs chacun. On se souvient aussi que Rob Pelinka était l’agent de notre Kobe bien-aîmé, avant de devenir le General Manager et Directeur des Opérations Basket des Lakers. 

Du côté français, Jérémy Medjana et Bouna N’Diaye de l’agence ComSport représentent nos athlètes nationaux dont Nicolas Batum, Rudy Gobert, Evan Fournier et Sekou Doumbouya.


2. Le manager

(Blake Griffin et son manager, Taylor Griffin)

Après l’agent, qui s’occupe des intérêts professionnels des joueurs, il y a le manager, qui lui gère leurs intérêts personnels. 

Rémunéré à la hauteur de 10%, le manager peut être n’importe quelle personne de confiance : un professionnel affilié à un agent, un membre de la famille ou un ami du basketteur.

Ainsi, à la NBA, Blake Griffin est managé par son frère aîné, Taylor, ancien joueur de la ligue choisi à la 48e position par les Phoenix Suns en 2009. N’ayant pas eu la carrière souhaitée, Taylor Griffin a décidé de se reconvertir dans le management. De cette manière, il conserve un lien avec la NBA et garde un œil sur son petit frère, dont la carrière est devenue tumultueuse ces dernières années.

Le rôle de parent peut également être perçu comme un type de management pour les jeunes athlètes. On pense au père de Ja Morant ou à la mère de Zion Williamson, publiquement impliqués dans la carrière de leurs enfants.

Un manager peut prendre en charge plusieurs personnes, jusqu’à ce qu’il trouve un contrat qui lui permette financièrement de devenir un manager exclusif.


3. Le conseiller financier

(Spencer Dinwiddie aux NBA Awards 2020 / Instagram : @spencerdinwiddie)

Le conseiller financier est la personne la plus importante de l’entourage professionnel d’un athlète. Il s’agit de l’individu qui va veiller sur les intérêts financiers du joueur

En effet, il est capital pour les athlètes d’avoir une personne de confiance pour gérer leur portefeuille, car lorsque de grosses sommes sont en jeu, les risques de dérives et de détournements nombreux.

La plupart des joueurs de la NBA ont des parcours de vie compliqués avant d’arriver dans la ligue. Ils sont souvent issus de quartiers défavorisés, ont été élevés par une mère célibataire et/ou dans la précarité… Performer dans le monde du sport et arriver en NBA, c’est un rêve qui devient réalité pour le joueur et pour toute sa communauté. 

Ayant réussi, le basketteur se sent redevable par rapport à tous ceux qui l’ont aidés dans son ascension. Il ressent le besoin de « give back », de redistribuer les richesses et bénédictions dont il a fait l’objet. Il se lance donc dans une frénésie acheteuse pour sa famille, ses amis, les personnes de la communauté… L’athlète se retrouve à payer tout et pour tous, allant jusqu’à s’oublier lui-même. On se souvient de l’anecdote sur Giannis Antetokounmpo, qui, lors de son année rookie, n’avait même pas ce quoi se payer un taxi pour se rendre à l’entraînement car il avait tout envoyé à sa famille restée en Grèce.

Ensuite, il y a l’attrait du luxe, qui va de pair avec une situation financière avantageuse. Voitures de sport, garde-robe haute-couture, villas et voyages au bout du monde… Les athlètes ne se privent de rien et parfois cela les amènent jusqu’à la banqueroute.

Ce fut le cas d’Antoine Walker, 3 fois All-Star et Champion NBA avec le Heat en 2006. Il avait perdu près de 110 millions de dollars et s’était retrouvé sans le sou à 38 ans, malgré 13 ans dans la ligue.

Les athlètes doivent porter une  attention particulière à la gestion de leur portefeuille. S’entourer d’un conseiller financier (et l’écouter) est l’astuce qui peut tout changer. 

Son rôle est de surveiller les comptes de l’athlète, budgétiser ses dépenses afin de lui permettre de maintenir un niveau de vie conforme à ses moyens et à ses envies. Il aide également son client à faire des placements financiers et à investir.

Spencer Dinwiddie a fait appel à ses conseillers pour négocier le paiement de son contrat de 34,4 millions de dollars sous forme de crypto-monnaie, puis sous forme de jetons virtuels.

Le conseiller financier est parfois recommandé par l’agent du basketteur, mais pour des raisons évidentes de conflit d’intérêts, celui-ci devrait être un professionnel indépendant.


4. Le coach personnel

(Chris Brickley – à droite – lors d’une séance de coaching avec Trae Young – à gauche)

Pour rester en forme et s’assurer d’être performants sur les parquets, les athlètes n’hésitent pas à engager un coach personnel

Cet entraineur vient compléter le travail du préparateur physique de la franchise, en apportant une attention particulière au basketteur et à ses besoins. 

Au programme : renforcement musculaire, soins mais aussi des exercices spéciaux pour les joueurs. Markelle Fultz avait par exemple fait appel à un préparateur personnel pour retravailler sa mécanique de tir suite à son étrange blessure à l’épaule.

Le « personal trainer » est surtout sollicité pendant l’intersaison, période pendant laquelle les basketteurs perfectionnistes prennent le temps de travailler leurs points faibles ou d’améliorer leur palette offensive. 

La présence d’un coach personnel dans l’entourage d’un joueur NBA reflète sa quête de performance et d’excellence physique et sportive. 

C’était évidemment le cas de Michael Jordan, dont le préparateur physique était Tim Grover, avec lequel il a travaillé pendant 30 ans. Ce dernier a entraîné d’autres Hall of Famers comme Hakeem Olajuwon, Scottie Pippen et Dwayne Wade.

Parmi les noms de personal trainers qui reviennent le plus souvent, il y a Chris Brickley dont les clients ne sont autres que LeBron James, Kevin Durant, Russell Westbrook, Carmelo Anthony ou Trae Young; puis, il y a Clint Parks, qui entraîne Kawhi Leonard et Kyle Kuzma ou encore Chris Johnson, qui a travaillé avec Jimmy Butler et Jaylen Brown.

Et comment ne pas mentionner David Alexander, le coach personnel de Victor Oladipo à qui l’arrière des Pacers avait envoyé un message devenu iconique, 15 minutes après la défaite des Pacers face aux Cavaliers en playoffs 2017 : « When do we start? I’m ready to take it to another level. »  (« On commence quand? Je suis prêt à passer à l’étape supérieure. »).


5. Le chef cuisinier

Afin d’avoir une alimentation saine et conforme à leur mode de vie d’athlètes, les joueurs de la NBA font appel à un chef, un cuisinier personnel, pour leur prépare chaque repas.

Le cuisiner connaît les habitudes et préférences alimentaires de son client et lui permet de rester fidèle à son régime. 

Le chef peut se rendre au domicile de l’athlète au quotidien pour lui concocter ses repas, ou bien il peut emménager avec son client. Il est également possible que le cuisto ait à voyager avec le basketteur, notamment lors de ses road-trips, toujours pour un souci de discipline alimentaire.

Ainsi, le chef Ryan Lopez travaille pour Kevin Durant depuis ses débuts à Oklahoma City, le chef Greg Lymann est au service de LeBron James et la cheffe Traci Siegel a introduit une alimentation vegan auprès de Kyrie Irving et Damian Lillard.

Car contrairement à Stephen Curry, tous les basketteurs n’ont pas la chance d’être mariés à une cheffe et propriétaire de restaurant. 


6. Le nutritionniste

(Un repas cuisiné par le chef Traci Siegel / Instagram : @cookwithcheftraci)

Dans une ligue aussi spectaculaire et athlétique que la NBA, il est important de performer. Il faut donc prendre son soin de son corps. Cela passe par une attention particulière portée à l’alimentation. 

Avant d’avoir un chef cuisinier, les joueurs vont consulter un nutritionniste. Ce professionnel va alors leur proposer un régime alimentaire qui correspond à leurs objectifs. On sait par exemple que LeBron James a transformé sa masse corporelle en changeant drastiquement son alimentation. Cette hygiène de vie explique d’ailleurs le fait que le King soit toujours aussi dominant sur les parquets malgré ses 35 ans.

Aussi, certains basketteurs ont opté pour une alimentation végétalienne. C’est le cas de Chris Paul, Kyrie Irving, DeAndre Jordan ou encore Wilson Chandler. Ici, le rôle du nutritionniste est majeur puisqu’il faut que ces athlètes de haut-niveau puissent avoir leur dose de protéines sans consommer de matière animale.

Cette vague vegan semble d’ailleurs prendre de l’ampleur au cœur de la ligue. 


7. Le chargé de relations publiques

(LeBron James lors de l’annonce de « The Decision » en 2010 / Source : ESPN)

A l’heure des réseaux sociaux, rien n’est plus important que l’image, c’est pourquoi les joueurs de la NBA engagent un chargé de relations publiques (RP).

On peut faire appel à lui avant la draft, sur les préconisations de l’agent sportif. Sa mission sera d’augmenter la valeur du prospect à la draft et travailler sur son image de marque, dans le but de susciter l’intérêt des médias et des sponsors.

Ensuite, ce ptofessionnel organisera les interactions du basketteur avec le monde extérieur, notamlent à travers des interviews et autres apparitions publiques. Il indiquera à l’athlète dans quels évènements se rendre pour augmenter sa notoriété, améliorer ou maintenir son image. Il lui fera des briefs sur les stratégies de communication à adopter, l’entraînera à répondre aux questions des journalistes et le préparera pour ses interviews.

On peut penser que Carmelo Anthony a bien suivi les recommandations de son « publicist » dans l’émission « First Take » en août dernier. Voir un Melo humble, humain, motivé et changé, avait contribué à convaincre le front office des Blazers de lui donner une chance de revenir dans la ligue.

Mais en termes de communication maîtrisée et contrôlée, comment ne pas mentionner LeBron James dont les réactions et interventions publiques sont scrutées. On se rappelle de cette grande mise en scène sur ESPN, lors de laquelle le King avait annoncé « The Decision » en 2010. Ce grand exercice de communication avait passionné les foules et suscité un intérêt supplémentaire pour LBJ.

D’un autre côté, le RP peut gérer la présence virtuelle de son client sur les réseaux sociaux, médias qui peuvent mettre des carrières en péril lorsqu’ils sont mal utilisés. Il publiera donc du contenu au nom du joueur et recueillera ses propos pour les communiqués officiels.

On a d’ailleurs pu voir l’influence de quelques tweets par des membres de la ligue avec la polémique autour de Daryl Morey, le General Manager des Rockets.


8. Le styliste

(La styliste et designer Jhoanna Alba / Instagram : @albalegacy)

Personne ne portait vraiment attention aux tenues des joueurs de basket avant qu’Allen Iverson ne se fasse remarquer pour son style vestimentaire : baggy, t-shirt XXL et snapback. 

L’ancien commissionner, le regretté David Stern, avait donc imposé un dress code en 2005 obligeant les athlètes de la ligue à s’habiller comme des professionnels du sport et non comme des stars du hip-hop. Cette règle est toujours en vigueur et pourtant on ne compte plus les extravagances fashion des basketteurs, devenus des icônes de mode à part entière. 

Russell Westbrook, LeBron James, Damian Lillard, Serge Ibaka, Carmelo Anthony, Kelly Oubre, Tyler Herro… Le style des joueurs est scruté et chaque arrivée de ces derniers est attendue comme un défilé.

Pour contrôler leur image et se distinguer, les basketteurs n’hésitent pas à faire appel à un styliste comme Jhoanna Alba. Elle habille des athlètes depuis 20 ans.

Le styliste, qui peut aussi être designer, va créer et rechercher les pièces tendance ou qui feront la différence une fois portés par les basketteurs. Il choisit les tenues qui seront vêtues par les joueurs, à leur arrivée à l’entraînnement, pendant la conférence d’après-match ou encore pendant des évènements publics (interviews, conférences de presse, cérémonies…).


9. Le promoteur

(Tristan Thompson / Instagram : @realtristan13)

Les basketteurs de la NBA sont des stars, voire des superstars qui parfois, aiment profiter de leur statut de célébrités pour sortir et faire la fête. 

C’est avec l’aide d’un promoteur qu’ils connaissent les lieux à fréquenter et/ou il ferait bon de se montrer (clubs, restaurants…). Le promoteur conseille le joueur sur des choses aussi basiques que l’endroit où garer sa voiture pour aller en boîte de nuit, la table à réserver dans le club, le dress code à adopter… Il lui fournit toutes les informations dont le joueur a besoin pour passer une bonne soirée.

Car ne vous y détrompez pas, le statut unique de basketteur ne vous garantit pas des laisser-passer dans tous les lieux hype et branchés. Il faut avoir un nom, un certain standing… et un promoteur pour assurer le tout. 


10. Le meilleur ami

Dans l’entourage des joueurs de la NBA, on ne retrouve pas que des professionnels du business, de la finance et de la communication. Il y a aussi leurs proches, dont le rôle est essentiel pour l’épanouissement du joueur. 

Il s’agit par exemple du meilleur ami du basketteur. Cet ami est ce que l’on appelle un « wingman« , une personne toujours prête à vous  accompagner, à vous soutenir, à vous encourager mais qui est aussi à vos côtés pour vous permettre de vous amuser.

C’est une personne de confiance, toujours présente pour le joueur. Il veille sur sa famille et sur ses affaires quand l’athlète est en déplacement par exemple.

Dans cette catégorie, on peut citer « Seez« , dont la vidéo est devenue virale, suite à un canular tendu par son meilleur ami, Stephen Curry.


11. Le protecteur

(Jahlil Okafor avec son père, Chuckwudi / Instagram : @jah8)

Afin de ne pas tomber dans les excès, l’athlète NBA a besoin d’une personne qui protège ses arrières. 

Celui qu’on appelle le « goon » n’est pas forcément un garde du corps attitré. Il peut tout simplement être un ami, un membre de la famille du joueur ou son assistant(e). Cette personne ne joue pas au basket, n’a pas le même style de vie que l’athlète, mais le suit dans ses faits et gestes et veille à ce que celui-ci ne dérape pas. 

Le protecteur s’assure que le joueur fasse ce qu’il doit faire, quand il doit le faire. Cet ange-gardien doit lui éviter de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment.

Jahlil Okafor en aurait bien eu besoin en 2015, suite à une bagarre à la sortie d’un club bostonien, qui avait étrangement marqué le début de sa traversée du désert sportive.


Mention spéciale : l’épouse du joueur

(Vanessa & Kobe Bryant / Instagram : @vanessabryant)

On dit que derrière tout grand homme se cache une femme… Ici, ce diction est à prendre dans les deux sens. 

En effet, les épouses des athlètes NBA ont un rôle essentiel dans la vie des basketteurs. Comme toutes les femmes, elles ont plusieurs casquettes : épouse, mère, femme d’affaires, gestionnaire, conseillère, partenaire… Elles sont les garantes d’un quotidien paisible et stable pour les joueurs, qui doivent trouver une personne de confiance pour partager leur vie.

Par ailleurs, les femmes de basketteurs peuvent facilement remplacer la plupart des membres de l’entourage mentionnés ci-dessus.

Elles ne vont certes pas faire le travail de l’agent sportif, mais elles sont déjà un peu des managers, puisqu’elles ont à cœur de protéger les intérêts de leurs époux dans la vie de tous les jours. 

Même si elles ne pas expertes en placements financiers, ce sont les épouses qui gèrent les dépenses du couple. Elles sont les responsables financières de la famille

Comme Ayesha Curry, elles peuvent avoir le rôle de chef cuisinier et nutritionniste pour leur mari. C’est donc à elles que revient la tâche de surveiller l’alimentation de leur basketteur. D’ailleurs, elles ont pour habitude de concocter le pre-game meal (repas d’avant-match) des joueurs NBA.

Les femmes de basketteurs peuvent également leur donner quelques conseils voire influencer leur communication et leur style vestimentaire.

On se doute aussi que l’épouse d’un athlète NBA est sa meilleure amie, puisqu’elle est sa confidente et sa partenaire de vie, en plus d’être la personne qui surveille ses arrières, son protecteur. 

En principe, les basketteurs qui ont une vie commune heureuse sont d’autant plus performants dans leur vie professionnelle. Parmi les couples iconiques de la ligue, on peut citer LeBron & Savannah James, Dwyane Wade & Gabrielle Union, Stephen & Ayesha Curry, Carmelo & LaLa Anthony et bien sûr, Kobe & Vanessa Bryant


Cet article a été inspiré par un épisode de Jalen & Jacoby, le très bon podcast de Jalen Rose et David Jacoby.

Sources : Jalen & Jacoby / Yahoo Sports / Basketusa / Sports Casting / The Score / Hoops Hype

Tracy Salumu

#TSFreelance | Rédactrice - Pigiste - Traductrice - Formatrice | Bloggeuse #ThatMoodSwing